Accueil Tags Posts tagged with "Backpack"
Tag:

Backpack

australie-travail-job

Que vous soyez déjà sur place ou en pleine préparation de votre arrivée, sachez que travailler en Australie est loin d’être mission impossible ! Je vais vous aider à mettre toutes les chances de votre côté pour trouver un emploi rapidement. Car soyons honnêtes, avoir un job, c’est essentiel pour profiter pleinement du pays : road trips en Australie, surf, barbecues au soleil, des voyages… mais aussi pour économiser et financer tous vos futurs projets.

Les méthodes que je vais partager ici sont testées et approuvées : soit moi-même, soit par d’autres PVTistes qui ont trouvé un emploi grâce à elles. Autant vous dire qu’elles fonctionnent vraiment !

L’Australie est une destination idéale pour les PVTistes (Programme Vacances-Travail), offrant de nombreuses opportunités, que ce soit dans l’hôtellerie, la restauration, le fruit picking, le BTP ou même des postes plus qualifiés. Encore faut-il savoir où et comment chercher efficacement !

💡 Bon à savoir : Si vous êtes étudiant, vous pouvez également travailler en Australie, mais avec des horaires limités (généralement 48 heures toutes les deux semaines avec un visa étudiant). Un job étudiant peut être un bon moyen de financer votre séjour et de profiter du pays sans exploser votre budget !

Les types de contrats pour un PVT en Australie

Avant toute chose, lorsque vous commencez vos recherches d’emploi, vous réalisez rapidement qu’il existe plusieurs types de contrats pour les détenteurs d’un visa PVT. Pas de panique ! Même si certains termes peuvent prêter à confusion, ils restent globalement similaires à ceux que l’on connaît en France.

  • Casual Contract → CDD (Contrat à Durée Déterminée) / Intérim
  • Part-Time Contract → Contrat à Temps Partiel
  • Full-Time Contract → CDI (Contrat à Durée Indéterminée)
  • Fixed-Term Contract → CDD (Contrat à Durée Déterminée)
  • ABN (Australian Business Number) Contract → Freelance / Auto-entrepreneur
  • Apprenticeship / Traineeship Contract → Contrat d’Apprentissage / Contrat de Professionnalisation
  • Internship → Stage
  • Piece Rate Agreement → Travail à la tâche (ex. picking dans les fermes)

Le contrat le plus répandu parmi les PVTistes est le Casual Contract :

  • Aucune limite d’heure, l’employeur peut adapter les shifts en fonction de ses besoins.
  • Aucun engagement à long terme, ce qui est idéal pour des emplois saisonniers ou à forte rotation (hospitality, picking, retail…).
  • Possibilité de cumuler plusieurs emplois selon votre emploi du temps et votre capacité à gérer la charge de travail.
  • Taux horaire plus élevé – En 2025, le salaire minimum en Casual Contract est de 30,13 $AUD.

Ce type de contrat est particulièrement adapté aux backpackers, car il permet de changer d’emploi facilement tout en accumulant suffisamment d’heures pour mettre de l’argent de côté et ainsi voyager.

Les différentes techniques pour trouver un travail rapidement en Australie

Ensuite, maintenant que vous connaissez les différents types de contrats. Prenez le temps de bien lire chaque méthode. Il n’y a pas une technique universelle, mais plutôt celle qui fonctionnera pour vous en fonction de votre localisation, du type d’emploi recherché et de vos expériences professionnelles.

1. Sites pour trouver un emploi

De nombreux sites web et applications peuvent vous faciliter la recherche d’emploi. Les grandes chaînes hôtelières, les restaurants et les entreprises du BTP utilisent souvent ces plateformes pour recruter. Voici les sites les plus courants :

  • Seek : l’une des principales plateformes d’emploi en Australie.

  • Indeed Australie : regroupe de nombreuses offres dans divers secteurs.

  • Jora : un autre site populaire pour les chercheurs d’emploi.

  • Gumtree : similaire à Leboncoin, avec une catégorie dédiée au travail.

  • LinkedIn : idéal pour des emplois qualifiés (graphistes, soignants, vidéastes, etc.).

2. Les groupes Facebook

Contrairement à la France, Facebook est en Australie un outil très efficace pour réseauter, se connecter avec d’autres expatriés et découvrir des opportunités professionnelles.

Avant même votre arrivée, rejoignez des groupes Facebook adaptés à votre situation, tels que :

Pourquoi utiliser Facebook pour trouver un emploi ?
Les employeurs australiens, qui recrutent souvent rapidement, publient des annonces directement dans ces groupes. Certains consultent même les publications de candidats en recherche. De plus, la communauté française en Australie est très solidaire : vous pourrez y trouver des recommandations, des offres d’emploi et des conseils.

Facebook est également un excellent moyen de trouver un logement ou un véhicule en Australie. C’est une application indispensable sur place !

3. Se déplacer ou appeler directement

En Australie, rien ne vaut le contact direct : se déplacer, se présenter et remettre son CV en main propre est la méthode la plus efficace. C’est sans aucun doute la meilleure manière de trouver un job rapidement. Aller à la rencontre des managers augmente considérablement vos chances de décrocher un job rapidement, que ce soit dans l’hôtellerie, la restauration, les fermes, l’industrie, le retail, etc.

Conseil :

Demandez toujours à voir le manager ! Personnellement, je dirais que dans 70% des cas où vous remettez votre CV à une autre personne, le manager ne vous rappellera pas. Le manager a besoin de vous voir et de discuter avec vous. Encore mieux, si possible, renseignez-vous avant, sur LinkedIn ou sur Facebook, pour trouver le nom du manager.

Dans certains cas, il est impossible de se déplacer. Je parle surtout des jobs en ferme ou en mine. Enfin, c’est possible mais pas pratique et une perte de temps. Dans ces situations, appeler est la meilleure solution.

Conseil :

  • Appelez et envoyez un mail ! Pour moi, c’est le meilleur moyen de trouver un travail rapidement dans ce secteur. Si vous appelez, vous pouvez les devancer en leur disant que vous avez déjà envoyé votre CV et vos coordonnées par mail. Et au pire, si vous êtes refusé à l’instant T, ils pourront toujours revenir sur vos e-mails quand ils en auront besoin.
  • Pour ce type de travail, ferme, mine, etc., ne négligez pas non plus les groupes Facebook, et veillez à bien indiquer vos coordonnées, notamment votre numéro de téléphone.
 

4. Contacter via les réseaux sociaux

Je n’y croyais pas et pourtant, pour l’avoir remarqué tellement de fois, cela fonctionne. Au départ, je trouvais que contacter quelqu’un via les réseaux sociaux était un peu intrusif. Mais en réalité, c’est souvent le moyen le plus direct pour échanger avec un employé, voire directement avec le manager. C’est une excellente astuce, surtout pour les petits commerces comme les cafés, restaurants, bars ou boutiques ! Cela fonctionne très bien dans les petites villes, mais également dans les grandes villes comme Sydney.

5. Bouche-à-oreille – Auberges de jeunesse

Si, avant d’arriver, vous hésitez entre trouver un logement ou aller en auberge de jeunesse, je vous recommande de séjourner dans les hostels pour trouver un travail rapidement. Pour tous les emplois, mais surtout dans la construction, l’industrie, le jardinage, etc., tout se fait par le bouche-à-oreille. C’est ainsi que cela fonctionne.

La majorité des personnes qui vivent dans des hostels sont des backpackers ou des PVTistes qui travaillent. Ce sont d’excellents intermédiaires entre vous et le manager. Dans tous les domaines, cette technique vous permet d’avoir un contact rapide avec le recruteur. Par exemple, sur de nombreux chantiers, les employeurs n’ont pas le temps de publier une annonce ou d’organiser un entretien. Ils ont besoin de main-d’œuvre rapidement pour poursuivre le travail et embauchent donc en priorité les personnes recommandées.

6. Agences de recrutement

Enfin, le dernier, mais pas des moindres : les agences de recrutement sont en lien direct avec des employeurs dans divers secteurs (hôtellerie, construction, jardinage, événementiel, etc.). Des personnes qui sont en lien constant avec des chefs de chantiers, des managers d’hôtels, des restaurateurs, des chefs événementiels, des jardiniers et bien d’autres employeurs. Pour décrocher un job rapidement grâce à elles, il suffit de s’inscrire et de déposer son CV. En général, vous recevrez ensuite un appel, un peu comme un entretien, où le recruteur cherche à mieux cerner votre profil afin de le proposer aux employeurs en fonction de leurs besoins.

Je pense avoir fait le tour, alors n’hésitez pas à partager en commentaire ce qui a fonctionné pour vous. Dans la suite de l’article, je vous donne d’autres conseils et astuces pour vous permettre de travailler dès que possible.

Démarches pour travailler en Australie

Sans compter que, pour trouver du travail rapidement, vous devez obtenir un certain nombre d’informations pour vous permettre de travailler sur le territoire australien. Sans tous les documents et numéros nécessaires, vous ne serez pas embauché.

  • Le visa :

La première étape avant de pouvoir travailler en Australie, c’est d’avoir un visa adapté. Le plus courant pour les jeunes voyageurs est le Working Holiday Visa (WHV), qui vous permet de travailler pour financer votre séjour. Si vous êtes déjà en Australie avec un autre type de visa, il faudra vérifier que vous êtes autorisé à y travailler.

  • TFN (Tax File Number)

Si vous vous préparez à travailler en Australie, l’un des premiers éléments à connaître est le TFN, un numéro essentiel pour toute la paperasse fiscale. En résumé, c’est l’équivalent du numéro de sécurité sociale en France, mais pour les impôts en Australie. Il est indispensable pour être payé correctement et, surtout, pour éviter de payer trop d’impôts. Si vous ne l’avez pas, vous risquez de vous faire prélever une somme importante à chaque paye. Vous pouvez l’obtenir uniquement sur le territoire australien.

Pour obtenir votre TFN, rien de plus simple. Vous pouvez faire la demande en ligne sur le site de l’Australian Taxation Office (ATO) ou, parfois, en personne dans un bureau de poste en Australie. Cela ne prend pas longtemps, mais il est essentiel de le faire avant de commencer à travailler.

  • Ouvrir un compte bancaire australien :

C’est plus pratique pour recevoir votre salaire. Vous n’avez pas besoin d’une adresse locale immédiatement, mais il est tout de même nécessaire d’avoir un compte bancaire pour éviter que votre employeur vous paie en espèces. Les grandes banques australiennes comme Commonwealth Bank, Westpac ou ANZ sont facilement accessibles aux nouveaux arrivants, et vous pourrez gérer votre argent à distance.

  • Superannuation

La Superannuation, ou « super », est un fonds de retraite. En Australie, les employeurs sont obligés de verser un pourcentage de votre salaire (actuellement 11 %) dans un compte de superannuation. Ce versement se fait automatiquement. Il s’agit d’une sorte d’épargne forcée pour votre retraite, mais la bonne nouvelle, c’est que cet argent vous suit même si vous changez d’emploi. Vous pourrez le récupérer soit à votre retraite, soit à votre départ du pays.

Préparer un CV adapté au marché australien

Un CV bien structuré est crucial pour attirer l’attention des employeurs. Il ne ressemble pas à celui que l’on réalise en France.

→ Pas de photo, pas d’âge !

Structure et contenu

  • Informations personnelles : nom, coordonnées et statut de visa.
  • Objectif professionnel : une brève introduction mettant en avant vos intentions et atouts.
  • Vous avez le droit à 2 pages, c’est même recommandé. Plus d’expériences, mieux c’est.
  • Expériences professionnelles : détaillées avec les missions et réalisations clés.
  • Compétences : techniques et personnelles, pertinentes pour le poste visé.
  • Formations et certifications : en lien avec le secteur d’activité.

Conseils spécifiques

  • Adapter le vocabulaire : utiliser des termes couramment employés en Australie.
  • Mettre en avant les compétences recherchées : comme la polyvalence, l’adaptabilité et la maîtrise de l’anglais.
  • Statut du visa : en plus d’annoncer le type de visa, précisez quand il a débuté et combien de temps il vous reste.

Un bon site pour voir des exemples : Exemples et modèles de CV australien pour vous démarquer

Dans certains états, comme le Queensland, il n’est pas nécessaire de faire 2 heures d’essai. On entend souvent que l’ajouter sur le CV peut être un plus, car cela montre votre investissement. Cependant, dans certains états, c’est illégal. Malheureusement, certains employeurs profitent de la naïveté des étrangers pour obtenir des heures de travail gratuites.

Avant votre arrivée - Préparatifs pour décrocher un job

{Le mot de la fin}

1 mois avant

  • Réaliser un CV en avance – Réalisez-le selon les normes d’un CV australien en anglais.
  • Rejoindre des groupes Facebook.
  • Rédiger des lettres de motivation généralisées.

1 semaine avant

  • Publier des annonces sur les groupes Facebook en français et en anglais (les deux langues sur des groupes tels que Les Français en Australie).
  • Cibler quelques entreprises qui vous intéressent.
  • Participer aux discussions sur les groupes d’hostels.
  • Participer aux discussions sur les groupes Facebook.

Rappelez-vous qu’en Australie, les recruteurs privilégient généralement les candidats disponibles pour commencer immédiatement. Et surtout, n’oubliez pas que les Australiens préfèrent souvent que vous soyez dispo rapidement, donc il n’est pas nécessaire de postuler bien en avance.

0 Commentaire
0 FacebookTwitterPinterestEmail

6 conseils pour financer un voyage longue durée

par Lucie
Comment financer son voyage longue durée ?

Voyager longtemps sans se ruiner, c’est possible ! Si vous vous lancez dans un long périple et que vous cherchez des moyens efficaces pour financer votre voyage longue durée, laissez-moi vous donner des astuces !

Après avoir visité une partie de l’Océanie et l’Asie du Sud-Est, j’ai découvert, grâce à de nombreuses rencontres, que le budget n’est jamais une limite. Tous les voyageurs n’ont pas les mêmes moyens au départ, mais tous trouvent des solutions pour réaliser leurs rêves de voyage longue durée. J’ai testé certaines de ces astuces, pour d’autres astuces, j’ai eu le récit de beaucoup de voyageurs qui m’ont partagé les différentes manières qu’ils n’ont pas avoir des sous sur leurs comptes ou des astuces qu’ils ont pour moins dépenser et quand même profiter.

Qu’est-ce qu’un voyage longue durée ? C’est une aventure qui s’étend sur plusieurs mois, voire plusieurs années : un tour du monde d’un an, six mois en Asie du Sud-Est ou encore quatre mois en Amérique centrale… et bien d’autres possibilités encore. Contrairement aux voyages de courte durée, celui-ci demande une bonne gestion du budget et une adaptation aux aléas du quotidien.

Au fil du parcours, l’envie de prolonger l’aventure se fait souvent sentir, rendant cruciales les solutions pour financer son périple.

Financer voyage longue durée - whatlusees

Avant de partir : Préparer son budget et trouver des sources de revenus

1. Faire des économies

Bien vu Einstein ! Mais pas le choix, il vaut mieux avoir des sous de côtés pour partir avec moins de stress. Voici donc des astuces pour vous aider à faire des économies avant votre grand départ à l’aventure :

    • Réduire ses dépenses : Prenez du recul sur vos dépenses mensuelles, voire hebdomadaires. Quelles sont les dépenses dont vous pouvez vous passer ? Voici quelques dépenses à repenser : les abonnements inutiles, les dépenses en sortie…

    • Revendre ses affaires : Si vous partez pour un moment, vous allez peut-être avoir recours à un déménagement. SI c’est le cas, vous pouvez faire le tri dans vos meubles et électroménagers. Quelques objets qui ne vous seront plus utiles dans le futur. Ou vous pouvez faire le tri dans vos vêtements et accessoires. Tout ce qui ne vous sert plus peut vous financer votre voyage.

2. Trouver des aides et subventions

Saviez-vous qu’il est possible de voyager à l’étranger tout en gagnant des sous ? De nombreuses opportunités existent pour financer votre voyage de longue durée, à condition d’être prêt à donner de votre temps et de vous organiser efficacement.

Pour réussir cette expérience, il est essentiel de bien planifier son voyage, de vérifier les conditions de visa et de choisir l’option la plus adaptée à son profil.

    • Le PVT – Programme Vacances-Travail, est une catégorie de visa qui vous permet, comme son nom l’indique, de travailler et de voyager. Il est disponible pour de nombreux pays comme l’Australie, Canada, Mexique, Japon etc. Dans le cas de l’Australie, vous pouvez travailler dans tous les secteurs, partout en Australie. Le visa PVT est facile à obtenir, vous devez remplir des informations via un site internet. Cependant, le visa est payant ! Mais sachez que vous allez vite être rentabilisé. Vous pouvez trouver un travail dans la construction, la restauration, dans les fermes, dans l’industrie etc. Il n’y a pas de limite d’heures !

    • Volontariat – Il existe plusieurs plateformes qui vous permettent, en échange de quelques heures de travail dans une ferme, dans une auberge ou des petites missions chez l’habitant, d’avoir un logement et le couvert offert. Vous pouvez vous renseigner auprès de HelpX. De plus le volontariat est une super manière d’être proche des locaux, vous allez pouvoir apprendre auprès d’eux et découvrir pleinement une culture.

    • Jobs saisonniers – Avec un peu d’organisation, si vous avez l’attention de rester longtemps dans une destination ou un pays, vous pouvez candidater pour travailler temporairement. Vous pouvez trouver un travail en tant que baby-sitter, serveur, animateur ou travailler en ferme.

3. L’échange de maisons

    • Ici c’est une astuce qui m’a personnellement conquise. Et je veux que vous exploriez toutes les possibilités afin de réduire vos dépenses, et dans ce cas réduire les dépenses logements, qui prend souvent de la place dans le budget voyage. Il existe plusieurs plateformes qui proposent des échanges de maison, un peu comme dans le film The Holiday.
      Le principe est simple : vous séjournez chez quelqu’un pendant qu’une autre personne occupe votre maison. C’est un échange gagnant-gagnant ! Pendant votre absence, quelqu’un profite de votre logement pour une courte ou longue durée. Et de votre côté, vous découvrez une nouvelle région ou un nouveau pays en vivant dans la maison d’un habitant.
      L’échange n’est pas forcément réciproque : vous pouvez séjourner chez quelqu’un sans que cette personne vienne habiter chez vous. C’est une manière flexible et économique de voyager tout en se sentant chez soi.
      → Pour ma part, j’ai utilisé HomeExchange. Avant de partir en roadtrip en Australie, j’ai accueilli des voyageurs chez moi tout en logeant chez ma sœur pendant quelque temps. Cela m’a permis de gagner des points.
      Après quelques échanges, j’avais cumulé suffisamment de points pour réserver 5 logements sans payer en Australie : à Cairns, Brisbane, Byron Bay, Sydney et Melbourne. C’était une super façon de voyager tout en faisant des économies !

Pendant le voyage : Gagner de l’argent sur le trajet

4. Travailler sur place

Petit tips : 

Travailler dans une auberge de jeunesse va vous permettre d’avoir le logement compris.
Dans beaucoup d’auberges à travers le monde, contre quelques heures de ménages, ou d’accueil, vous avez le logement offert.

5. Devenir digital nomad

Ce mode de vie est de plus en plus répandu et fait rêver de nombreuses personnes. Moi la première. Un digital nomad travaille à distance avec son téléphone ou son ordinateur, depuis n’importe quel endroit dans le monde, avec comme seule condition avoir une bonne connexion Wi-Fi.

  • Freelance : Lancez-vous à votre compte et proposez vos services pour financer votre voyage ! Devenez créateur de contenu pour une marque, en tant que rédacteur web, community manager ou réalisez des missions en tant que traducteur, graphiste, monteur vidéos, et bien plus. Ces activités vous permettent de financer vos aventures tout en travaillant à distance, offrant une flexibilité idéale pour un voyage de longue durée. Voici quelques plateformes utiles pour trouver des missions et garantir un financement stable lors de vos voyages.
  • Affiliation par le blog : Et si vous racontiez vos aventures, périples et expéditions sur un blog ? Partagez, comme je vous le fais à présent, vos conseils, astuces et expériences acquises lors de vos voyages à travers des articles captivants. Monétisez ensuite votre audience en intégrant des programmes d’affiliation sur vos pages, ce qui vous permettra de financer vos voyages sur le long terme.
  • Créer sa chaîne YouTube : Si vous avez le temps et l’énergie, pourquoi ne pas documenter votre voyage ? Je parle de YouTube, mais cela peut aussi être sur Instagram ou TikTok. Il faut être assidu, prendre le temps de faire du montage et trouver des idées de vidéos, mais avec de la persévérance, vos vidéos pourront être rémunérées. Et cela vous fera de bons souvenirs vidéo.


6. Voyager gratuitement (ou presque)

Et enfin, le dernier qui n’est pas des moindres, voyager sans dépenser, ou qu’un peu. Voici queqlues idées pour ne pas trop dépenser, voire pas du tout. Des solutions efficaces pour vous permettre d’économiser le plus possible pour le reste de votre long voyage, tout en partageants avec des locaux ou autres voyageurs.

  • Le Couchsurfing : C’est l’art d’être hébergé gratuitement chez l’habitant, souvent sur un canapé (d’où le nom). Grâce à des plateformes comme Couchsurfing.com, les voyageurs peuvent trouver des hôtes partout dans le monde, prêts à partager leur espace, leur culture et parfois même leurs repas. Personnelement je ne l’ai encore jamais fait, mais c’est un moyen que j’ai souvent entendu au travers des recits d’autres voyageurs. Avantages : Gratuit, authentique, riche en rencontres humaines. Inconvénients : Manque parfois d’intimité, incertitude sur les conditions d’hébergement.
  • Faire du stop : La technique pour faire baisser le budget transport. Le stop consiste à demander aux automobilistes de vous prendre sur leur trajet pour vous emmener ou vous rapprocher de votre destination. C’est vraiment une technique vieille comme le monde, mais qui persiste dans certains pays. Je recommanderai d’être assez patient et de ne pas avoir de plan, et d’être très vigilant. Avantages : Gratuit, imprévisible, souvent ponctué de belles rencontres. Inconvénients : Temps d’attente parfois long, dépendance aux autres, sécurité à garder en tête.
  • Le housesitting : C’est garder la maison (et souvent les animaux) de quelqu’un pendant son absence, en échange d’un hébergement gratuit. Des plateformes comme TrustedHousesitters mettent en relation des propriétaires et des voyageurs. Pendant que les propriétaires partent en vacances l’esprit tranquille, les housesitters profitent d’une maison (parfois luxueuse) et vivent comme des locaux. Avantages : Gratuité du logement, confort, immersion locale, parfois des animaux à câliner. Inconvénients : Responsabilités (entretien, soins aux animaux), moins de flexibilité qu’un voyage classique.

Conclusion

Financer un voyage longue durée demande de l’organisation et de la débrouillardise, mais c’est largement faisable ! Avec un bon plan, des astuces et un état d’esprit ouvert, tu peux parcourir le monde sans exploser ton budget.

Conseils avant votre voyage :

  • Imprimer des CV : Préparez des CV en avance, si possible la majorité en anglais, ou autres langues en fonction des pays où vous souhaitez aller. Renseignez-vous sur la manière de faire des CV dans les pays différents ! Par exemple, en Australie, on ne met pas de photo et on décrit un peu plus les missions passées dans nos expériences, et pas uniquement des mots clés.
  • Postuler en avance : Dans la mesure du possible, jeter un œil à des restaurants, entreprises, fermes, etc. qui pourrait vous accueillir. Ainsi, vous pouvez sauvegarder votre place et être sûr d’avoir un travail à votre arrivée.
  • Une carte bancaire sans frais à l’étranger : Optez pour une carte sans frais pour vos dépenses dans le monde. Parmi les banques en ligne : Revolut, Wise, N26. Bon moyen d’éviter les frais cachés.

Comment estimer son budget voyage de longue durée ?

Pour financer correctement votre voyage de longue durée, il est recommandé de faire un budget, ou au moins d’avoir une idée du coût de la vie dans les pays que vous souhaitez visiter. Renseignez-vous en amont sur les coûts des transports, de l’hébergement, de la nourriture et des activités. Certains endroits (Asie du Sud-Est, Amérique Latine) sont beaucoup plus abordables que d’autres.

La plateforme que je peux vous recommander est Planificateur A Contresens. Personnellement, je trouve leur site très ludique et il regroupe toutes les informations dont on a besoin avant de partir. Il y a également beaucoup d’articles de blog voyage pour vous aider à planifier votre voyage. L’avantage, quand vous créez votre itinéraire via ce site, c’est que vous pouvez avoir une idée du budget. Il calcule, en fonction des destinations que vous ajoutez à votre programme, un budget moyen en fonction du coût de la vie des pays sélectionnés.

J’espère que tous mes conseils et astuces pourront vous aider à avoir l’argent nécessaire pour votre voyage de longue durée. N’hésitez pas à me donner votre avis et à commenter cet article. Si vous souhaitez enregistrer cette page pour la retrouver plus tard, vous pouvez l’enregistrer sur Pinterest !

0 Commentaire
0 FacebookTwitterPinterestEmail

Le voyage seul est une idée qui est aussi bien excitante que terrifiante. Surtout quand il s’agit du premier. J’y ai souvent songé, et je me suis souvent dit que si un jour, je ne trouve personne avec qui partir, j’irai seule. Mais pour beaucoup de mes voyages, je proposais à des proches, comme la famille ou des amis, et j’ai toujours trouvé la ou les personne.s aussi motivées à partir.

J’avoue que j’ai souvent trouvé regrettable de ne pas partir en voyage, pour la raison que nous ne trouvions pas de partenaire de voyage. Mais je peux comprendre les raisons qui nous empêchent de sauter le pas, comme la peur d’être seul, la peur de s’ennuyer ou bien l’insécurité.

J’ai donc réalisé mon premier voyage seule en mars 2022.

Comment je me suis lancée ?

L’idée de faire mon premier voyage solo me trottait dans la tête depuis un moment, mais j’avoue que le confinement en 2020, m’a donné encore plus envie de me challenger dans mes voyages. Le fait d’être enfermée me donnait matière à réfléchir à mes prochaines expéditions. Cette année-là et la suivante ont été compliquées pour se lancer. Mais dans mes résolutions de l’année 2022, il y avait : voyager seule. Et j’ai eu l’opportunité servit sur un plateau.

J’avais une semaine qui me tombait un peu dessus où j’avais le choix entre partir ou rester chez moi en France. À cette période, j’étais en alternance, et à cause d’une erreur de planning par mon école, j’avais une semaine sans cours ni entreprise. Mais nous, avec les autres élèves de ma classe, nous avons su assez tard que cette semaine-là serait “off”. Mais dès que l’annonce a été révélée, je me suis jetée sur les sites de vols. Le timing était trop serré pour pouvoir prévenir et proposer à mon entourage de venir avec moi et tout organiser. Forcément, je me suis posée beaucoup de questions, comme le fait de savoir si j’étais prête, si j’allais aimer me retrouver seule dans un autre pays que celui de mes proches. Mais j’étais sûre de moi, j’avais envie de partir.

Plusieurs points étaient à prendre en compte pour sélectionner la destination qui allait m’accueillir pour mon premier voyage seule :

  1. Faire une liste : Une fois que l’idée était ancrée dans ma tête, je me suis fait une liste des pays et des villes en Europe que j’avais envie de faire. Et dans cette liste, j’ai sélectionné les pays où je me voyais voyager seule. Par exemple, je voulais aller à Berlin depuis très longtemps, mais étant une ville assez animée et qui vit beaucoup la nuit, je préférais la faire avec des amis plutôt que de la visiter lors de mon premier voyage seule. Mais j’avais beaucoup de pays et villes européennes en tête, donc ma liste restait quand même costaud.
  2. Se renseigner : Ensuite, j’ai lu des tas et des tas d’articles de blog sur “les meilleures destinations à faire seule”, ou, “où aller quand on fait son premier voyage seule ?“. J’alternais entre les blogs et des vidéos YouTube avec des témoignages de voyageuses seules. Beaucoup de ville et pays revenaient, comme la Suède, le Portugal, l’Irlande etc. Évidemment, je me suis renseignée autour de moi, pour avoir des récits de mes propres proches. J’en ai eu un d’une amie qui avait adoré son voyage à Budapest. Elle m’a parlé de son voyage avec tellement de côtés positifs que je me suis sentie rassurée et plus confiante que jamais.
  3. Prendre en compte l’aspect financier : Et enfin, le dernier point à prendre en compte, la destination devait correspondre à mon budget, qui était un budget étudiant.

Et avec toutes ses informations, ses gymnastiques mentales pour savoir où partir et surtout après moulte recherches, j’ai trouvé la pépite ! Après plusieurs recherches et beaucoup d’onglets de sites de voyage et vols ouverts, j’ai trouvé la destination qui allait être mon premier voyage seule : la Croatie !

Comment on réagit mes proches ?

Mon vol était réservé. Plus de retour en arrière possible. C’était une certitude, je partais direction la Croatie. À présent, il fallait que j’en parle à mes proches.

J’appréhendais d’en parlé surtout à ma famille proche. Mais même auprès de mes amis, j’avais peur d’être découragé ou d’avoir des retours comme si j’étais éprise d’une folie. Mais j’étais assez surprise car toutes les personnes ont très bien réagi à ce choix. Alors certes, j’ai eu le droit à beaucoup de questions comme “N’as-tu pas peur de voyager seule ?”, “Ce n’est pas dangereux de voyager en tant que femme ?”, et “Pourquoi tu veux faire ça toute seule ?” . Mais des questions que je qualifierais de bienveillants. Ils étaient inquiets comme moi je l’étais aha.

Mais en règle générale, en connaissant mon caractère, personne n’était très choquée de ma décision. Mes parents étaient inquiets, quand même, mais me faisaient confiance.

Avais-je peur de partir toute seule ?

Je ne peux pas dire le contraire. Moi aussi, je me posais un tas de questions. J’avais l’impression que mon cœur prenait une décision que ma raison ne s’avait entendre. Quand je pensais à l’idée de partir seule, l’émotion la plus forte était l’excitation. L’envie de partir était plus forte que la peur.

Le jour du départ approchait, et la question “Pourquoi je fais ça?” tournais en boucle dans ma tête. J’essayais d’avoir le plus de renseignements possible et je lisais beaucoup de témoignages pour savoir comme réagir quand on voyage seule. J’étais rassurée, car j’avais en mains toutes les clés pour que tout se passe bien. Et la Croatie étant le premier pays que je faisais me rassurait, je m’étais beaucoup renseigné que la sécurité dans le pays, et je voyais que des choses positives.

Mes plus grosses peurs et comment je les ai contournés lors de mon voyage :

  • Peur de sortir la nuit : L’une des choses que j’avais dites à mes proches pour les rassurer, et une chose que je pensais être une conviction, c’est que je ne voulais pas sortir le soit toute seule. Je pensais qu’une fois la nuit tombée, j’allais être plus vulnérable et en insécurité. Pour mes premières soirées j’ai rencontré d’autre backpacker avec qui je suis sortie. J’ai pu voir comment se comportaient les personnes autour de moi. Et finalement quand je me suis retrouvée seule, j’ai réussi à sortir la nuit. Mais pas trop tard, on se comprend.
  • Peur de manger seule : Quand j’étais en France, je trouvais ça inimaginable de manger seule dans un restaurant. Je pense que c’est la vision des autres de voir quelqu’un seule à une table qui me freinait. Mais quand on voyage seule, on a pas le choix. Je voulais testé des adresses de restaurants, et je n’étais pas toujours accompagné. Et finalement, c’est tout aussi bien. C’est un vrai temps pour soi, vous pouvez manger tranquillement, avec un livre, ou une serie à votre guise.
  • Peur de me sentir juger : Celui-ci est dans le sens où je n’avais pas envie qu’on est pitié d’une fille seule. J’avais beau dire que je m’en foutais car il s’agissait de quelques jours. Quand on voit les regards se poser sur vous car vous n’êtes pas accompagnés, vous vous posez quelques questions. Alors que parfois la personne n’en pense rien, on se fait des films. Je pensais qu’on allait me juger dans les rues, les musées, les restaurants etc. Finalement, tout le monde s’occupe de soit. Et au contraire, quand on vous voit seule, dans certaines circomtances, les gens seront plus amener à venir vous parler, soit pour apprendre à vous connaitre, soit pour vous aider. Etre seule c’est un peu un appel à la convialité.

Comment j’ai organisé ce voyage ?

Sans trop entrer dans les détails, car j’ai des articles dédiés à mon voyage en Croatie, voici un peu mon programme et comment je l’ai organisé.

Ma ville d’arrivée allait être Zadar et ma ville de départ Zagreb. J’avais prévu de rester uniquement cinq jours en Croatie, et je trouvais que visiter deux villes dans ce timing était possible.

Quand j’ai fait mes recherches pour trouver le vol le moins cher, j’avais vu que l’aéroport de Charleroi, en Belgique, proposait des vols 60€ moins chers qu’en France. J’ai donc réservé depuis cet aéroport pour aller à Zadar. NB : Ce n’est pas forcément le meilleur choix, je ne pensais pas que tous les bus que j’allais prendre pour aller à Charleroi allaient me coûter aussi cher. Donc, je n’ai pas tant économisé que ça, mais un petit peu aha.

Ensuite j’ai réservé les logements. Une auberge de jeunesse dans chaque ville. Le choix de l’auberge est le résultat de plusieurs recherches, avec les avis, la localisation et les photos. Je voulais toujours un logement bien localisé et convivial. Et en plus, uniquement une chambre de fille.

Pour le reste, j’admets que j’étais prise de court, puisque je n’avais pas beaucoup de temps pour organiser mon voyage. J’ai fait une liste des choses à faire, des lieux à visiter, et des spécialités gastronomiques à goûter.

Le jour du départ et mes premiers jours en Croatie.

Le jour du départ a sonné. J’ai pris plusieurs bus très tôt au départ de Paris pour arrivée à Charleroi en matinée. Une fois à l’aéroport, après avoir fait scanner mon billet par plusieurs agents, j’arrive enfin devant le porte d’embarquement. J’ai analysé tout le monde comme une enquêtrice. J’étais à la recherche d’autre personne qui pourrait potentiellement voyager tout seul. Tout en restant assez discrète évidemment 🙄. À l’heure où je vous écris, nous sommes en mai 2024, j’ai donc réalisé ce voyage il y a 2 ans, et je me souviens très bien de ce moment où l’on est tous à attendre, sur les chaises comme dans une salle d’attente, que la porte d’embarquement ouvre.

Anecdote : Quand nous arrivons à l’aéroport de Zadar, à la sortie de celui-ci, je devais prendre un bus. Tous les arrivants se font alpaguer par des chauffeurs de taxi. Ils nous disent tous que le bus ne va pas venir aujourd’hui, évidemment, c’est une ruse. Mais une des personnes qui étaient dans mon avion me propose à moi et quatre autres personnes de le suivre pour prendre un taxi qu’on va partager pour aller jusqu’au centre-ville. Et si je vous raconte ce moment, c’est que dans ce taxi je suis avec deux autres voyageurs belges qui voyagent tous les deux seuls. Une fille flamande et un gars qui parle français. En sortant du taxi, on discute et hop, c’est comme ça que j’ai rencontré deux acolytes pour mes deux jours à Zadar.

Ça m’a complètement rassurée, on s’est tout de suite bien entendu. Et nous avons pu passer de super moments ensemble. Ils ont rendu mon voyage tellement dingue. Je garde avec eux de super souvenirs.

Mais en arrivant à Zagreb, ça n’a pas été aussi simple. Alors j’ai passé trois jours dans la capitale croate entièrement seule. Et j’ai adoré. Ce qui me faisait le plus peur était de me retrouver seule le soir. J’avais peur de regretter de ne pas sortir une fois que la nuit tombait. Mais il s’est avéré que j’ai bien aimé ces petits moments. J’ai pu passer du temps dans des cafés, aller dans n’importe quelles rues qui attisaient ma curiosité, aller dans tous les magasins que je voulais, visiter tous les musées qui m’intéressaient… Je gérais mon emploi du temps comme je le souhaitais, et ça fait du bien.

Mes retours sur cette première expérience :

On est assez euphorique quand on passe le cap du premier voyage seule, qu’il soit programmé ou qu’il nous tombe complètement dessus, c’est une expérience unique. Plusieurs questions peuvent nous traverser l’esprit, mais l’excitation peut prendre le dessus. C’est tout un tas d’émotions qui vont vous tomber dessus lors de ce voyage. Entre peurs, doutes, mais aussi exaltations et joies, tout y passent, et c’est ce qui rend cette première expérience si dingue.

Personnellement ce voyage a été le déclencheur de plusieurs voyages solo ensuite. Je suis partie à Ténérife, Nice, et au Vietnam par exemple. J’ai pu partir seule parce que j’en avais simplement envie, et non pas à cause de proches qui ne pouvaient pas venir ou pour d’autres raisons qui pourraient nous pousser à le faire. Il n’y a rien de plus vrai que :

Quand on voyage seul, on n’est jamais seul.

On peut se découvrir un trait de caractère extraverti, qu’on ne se connaissait pas, qui nous pousse à aller rencontrer des personnes. Dans une auberge, dans un café, un musée ou en pleine rando, plusieurs endroits peuvent être propices à la rencontre. Partir sans personne, vous pousse à aller vers les autres. À l’inverse, les personnes qui vont vous entourer et qui vous verront seul, seront plus amenées à vous parler que si vous êtes déjà avec un groupe.

Et enfin, il y a plusieurs moments où vous allez sûrement être seul, et ça fait du bien. C’est un réel temps pour soi. Ce voyage il est fait aussi pour savoir ce que vous aimez le plus en voyage. Savoir si vous préférez vous détendre, ou tenter des aventures inédites. Vous pouvez dépasser vos limites et sortir de votre zone de confort. C’est un temps qui est dédié à vous-même, un temps où vous pouvez écouter vos pensées. Le voyage solo vous aide à avoir confiance en soi. Puis, cela permet d’être très flexible sur votre séjour. Créer un programme qui vous ressemble.

Que se soit un grand voyage à l’autre bout du monde, ou un petit week-end dans la région, le voyage solo est un bon exercice, pour apprendre à se connaître.

1 Commentaire
0 FacebookTwitterPinterestEmail

Ce site web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposons que vous êtes d'accord, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. Accepter En savoir plus

Privacy & Cookies Policy